Des personnes normales, dans un village normal à la frontière. De l'autre côté les autres : dangereux par définition. Des hommes, eux aussi, mais différents, étrangers. Et donc étranges. Le village s'organise, les gens forment une minuscule milice «anti-immigrés». Des rondes nocturnes se font le long du fleuve qui marque la frontière. Il ne faut pas les laisser envahir le village, le pays. Mais l'un d'entre eux réussira à passer et sera capturé. Et un problème se pose: qu'est-ce qu'il faut faire?
La pièce de F. Randazzo, par une écriture libre de toute règle de ponctuation qui laisse place à l'interprétation, où les didascalies marquent les pauses et les silences comme dans une partition musicale, traite un sujet de la plus grande actualité dans une Italie qui ouvre ses portes à une forte immigration.
La pièce de F. Randazzo, par une écriture libre de toute règle de ponctuation qui laisse place à l'interprétation, où les didascalies marquent les pauses et les silences comme dans une partition musicale, traite un sujet de la plus grande actualité dans une Italie qui ouvre ses portes à une forte immigration.
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